En parcourant divers articles abordant le concept du web 2.0, il est intéressant de constater l’intérêt porté à la confusion qui règne autour de la définition de cette notion: « Qu’est-ce que le web 2.0 ? » Il aurait été original de commencer le présent article sans soulever ces interrogations, voire proposer une définition consensuelle ou mieux encore un aspect encore inexploité. Hélas les capacités cognitives humaines ne peuvent égaler celle d’un ordinateur et des heures entières ne suffiraient pas à parcourir toutes les théories rédigées sur le sujet.
Techniciens, designer, sociologues, novices, blogueurs compulsifs de tout âge et toute nationalité, eux même acteurs du web d’aujourd’hui peuvent partager avec le reste du monde, leur vision du mythique « web 2.0 ». Et c’est bien cela qui définit l’utilité même du web 2.0. La circulation de l’information est effectivement accrue grâce à une accessibilité et une ergonomie des interfaces, permettant ainsi à chaque internaute non seulement de récolter l’information mais également de la partager, la traiter, l’interpréter voire la modifier. Grâces aux nombreux outils disponibles, chacun peut ainsi apporter sa pierre à l’édifice de la connaissance soulevant alors des questions quant à la qualité des informations diffusées.
Techniciens, designer, sociologues, novices, blogueurs compulsifs de tout âge et toute nationalité, eux même acteurs du web d’aujourd’hui peuvent partager avec le reste du monde, leur vision du mythique « web 2.0 ». Et c’est bien cela qui définit l’utilité même du web 2.0. La circulation de l’information est effectivement accrue grâce à une accessibilité et une ergonomie des interfaces, permettant ainsi à chaque internaute non seulement de récolter l’information mais également de la partager, la traiter, l’interpréter voire la modifier. Grâces aux nombreux outils disponibles, chacun peut ainsi apporter sa pierre à l’édifice de la connaissance soulevant alors des questions quant à la qualité des informations diffusées.
Le web 2.0 permet également la création de communauté et d’échange. La notion de communauté répond à un besoin humain primordial, identifié par Maslow : Le besoin d’appartenance. Mais les liens sociaux virtuels notamment tissés au travers des réseaux sociaux soulèvent diverses polémiques autour du respect de la vie privée et de la sécurité de ses données personnelles. De plus cet instinct grégaire inspire les nouvelles tendances marketing. Le marketing tribal ou collaboratif nait au cœur de ce web relationnel[1]. De ce fait, pour mieux cerner l’état des lieux du web actuel, une question peut sembler pertinente : A qui profite aujourd’hui le web 2.0 ?
Certes l’accès des internautes est facilité : Le web 2.0 recense un ensemble d’améliorations technologiques et ergonomiques révolutionnaires permettant une souplesse d’utilisation. L’utilisateur peut alors se concentrer non plus sur la forme mais sur le contenu. Cependant, le web 2.0 est également inscrit dans l’air de l’économie de la connaissance où le savoir devient un avantage compétitif primordial pour les entreprises actuelles transcendant ainsi leur « business model ». Les outils du web 2.0 permettent ainsi une conservation et une diffusion de leur capital immatériel à des fins stratégiques.
Alors quelles seront les étapes suivantes et que nous réserve le web 3.0 ? Là encore les avis diverges : Web sémantique, web 3D soutenu par le Web3D Consortium[2]. Nous garderons alors le regard optimiste de l’article de Eric van der Vlist : « le web continue à faire la part belle aux initiatives personnelles. Le message du Web 2.0 est un message d'espoir. »[3]
Pour clore mes propos, voici une vidéo que j'ai trouvé en parcourant la toile....
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